Nos conférences
Le Point rose propose des rencontres avec des personnalités et des professionnels ayant quelque chose à partager avec les familles éprouvées par la perte d’un enfant et leurs proches. Psychologues, thérapeutes, philosophes, artistes, auteurs, sportifs… les personnalités que l’association invitent dans ses “Rencontres du Point rose” sont issues d’univers très variés, mais ont toutes en commun une sensibilité, un savoir-faire ou une expérience personnelle à partager avec les parents et les adhérents du Point rose.
Rencontres avec Eric Dudoit
Une des personnalités qui intervient régulièrement pour le Point rose est Eric Dudoit.
Éric Dudoit est docteur en psychologie clinique et psychopathologie, responsable de l’Unité de Psycho-Oncologie du service de soins palliatifs et Oncologie médicale du CHU La Timone à Marseille. Auteur de plusieurs publications sur la spiritualité dans les soins : Au coeur du cancer, le spirituel, Ces EMI qui nous soignent, et en 2017, La Porte à franchir, témoignage d’un passeur d’âmes (éditions Le Passe-Monde).
« Il faut absolument parler pour que chaque mort devienne une vie »
Un moment privilégié, informel et en plein air, dans le jardin du Point rose, sous le platane, pour échanger sur la vie, la mort, les liens, l’amour ; pour mieux penser la mort quand on tient à la vie ; pour s’autoriser à vivre après l’impensable.
Conférences en ligne
Conférence avec notre marraine Jeanne Siaud-Facchin
Le Point rose et la Librairie Maupetit ont organisé une Rencontre avec la psychologue Jeanne Siaud-Facchin autour de son nouveau livre, « S’il te plait, aide-moi a vivre. Pour une nouvelle psychologie ». (Editions Odile Jacob)
Comment la psychologie peut-elle et doit-elle aider à vivre ? Et plus encore, après des épreuves telles que la perte d’un proche ou d’un enfant ? Car il s’agit bien alors d’arriver à vivre, pas juste de comprendre sa souffrance.
Conférences “La mort si on en parlait” à la Toussaint
2019 : Conférences, tables rondes et projections-débat se sont succédées pendant deux jours afin d’aborder les thème suivants : le deuil, l’empreinte numérique, les rites et croyances, la résilience, les aides pratiques et enfin l’impact sociétal. Avec : Boris Cyrulnik, Christophe Fauré, Eric Dudoit et Stéphane Allix et Nathalie Paoli du Point rose.
2021 : C’est à la Cité des Congrès de Nantes que se tenait la 3e édition, avec la participation du Point rose cette année encore.
Conférence d’Anne-Dauphine Julliand : Consoler et être consolé
Conférence avec Stéphane Allix et Agnès Stevenin
Stéphane Allix et Agnès Stevenin, tous deux touchés par un drame personnel qui les a amené à se métamorphoser et à se révéler dans leur vie en questionnant le sens de la vie et de la mort, nous ont enrichis de leur expérience et de leur regard, nous ont livré des années de cheminement et d’investigations personnelles lors de cette soirée.
De la mort à la (re)naissance, comment ces « âmes blessées » ont-elles réussis à passer le cap de «l’après »… ?
Comment ne pas se reconnaître en eux ?
Agnès Stevenin est thérapeute. Elle a découvert son don à l’âge adulte. Sa vie a alors basculé de l’état ordinaire à celui de soignante énergétique. Elle met aujourd’hui son expérience et ses facultés au service des autres dans l’aide à la guérison, physique et psychologique.
Conférences autour de films
« Un monde plus grand »
Qu’est-ce qu’on est prêt à faire pour retrouver l’amour de sa vie après sa mort ? Pour relever le défi de l’amour plus fort que la mort ? C’est un peu le point de départ et le fil conducteur de l’expérience de Corine Sombrun qui a inspiré le film « Un monde plus grand ». Un incroyable parcours qu’elle est venue partager avec nous… (lien vers l’article)
« Et je choisis de vivre »
A tout juste 30 ans, Amande perd son enfant. Pour se reconstruire, elle entreprend alors un parcours initiatique dans la Drôme, accompagnée de son ami réalisateur Nans Thomassey. Ensemble, et sous l’œil de la caméra, ils vont à la rencontre d’hommes et de femmes qui ont, comme Amande, vécu la perte d’un enfant. De cette quête de sens, naît « Et je choisis de vivre », un film sur le deuil, à la fois sensible, émouvant et rempli d’espoir. Le Point rose a organisé plusieurs soirée-débat suite à la projection de ce film (2019) (lien vers l’article)
« Beauté cachée »
“Doudou Forever”
Doudou Forever, pour donner à voir l’impensable et l’espoir…, pour expliquer l’action du Point rose, à travers la métaphore d’un doudou, et des scènes tournées par des enfants qui mieux que personne incarnent la vie, l’espoir et l’amour inconditionnel. Son réalisateur, Alexandre Faure, a su montrer toutes les facettes du Point rose, avec beauté, amour et poésie. (lien vers l’article)
“Soleil battant”
Soirée animée par Fabrice Kehayan qui, pour son mot de la fin, au terme d’une séance débat de plus de 3h30, a emprunté au poète Rene Char « dans l’inachevé réside l’essentiel ». (lien vers l’article)
“De toutes nos forces”
Participation à un débat (mai 2017) et partage d’expériences avec Le Point rose à La Ciotat sur le thème du Sport résilience, à l’issue de la projection du très beau film “De toutes nos forces » de Nils Tavernier (2013) qui raconte l’histoire vécue de Paul Amblard et de son fils handicapé avec lequel il s’est lancé le défi de réaliser ensemble l’Ironman de Nice.
Le sport comme moyen de se dépasser mais aussi de dépasser un handicap ou un malheur. C’est une ressource de résilience essentielle utilisée notamment par Le Point rose pour accompagner les familles frappées par la perte d’un enfant.
En présence de la Municipalité de La Ciotat, de La Ciotat triathlon, d’Ag2r La Mondiale, de nos psychologues, et de sportifs de haut niveau.
Soirée de coaching parental
Comment dire et parler de la mort à un enfant :
Comment accompagner les enfants face à la mort d’un proche. Entre besoin de dire et besoin de protection, entre le trop et le pas assez… On est si peu aidé et préparé à en parler, et encore plus démuni quand il s’agit de la mort contre-nature d’un enfant ou d’un de ses parents… On se déchire sur les questions de sa présence aux obsèques, sur le vécu du deuil. On a peur de mal faire ou d’aggraver encore le mal. On a peur de briser à jamais son innocence. Comme si l’innocence que l’on associe à l’enfance était incompatible avec le sujet de la mort.
Comment l’adulte peut-il mieux se placer pour mieux accompagner ? Comment gérer les grandes et les petites questions du quotidien ? Et après ?
